Ces jours qui sont à nous, si nous les déplions
Pour entendre leur chuchotante rêverie
Ah c’est à peine si nous les reconnaissons.
Quelqu’un nous a changé toute la broderie.
Carl Olof Larsson, Jeune femme allongée sur un banc, 1913, aquarelle, encre noire, gouache, mine de plomb, Paris, musée d'Orsay, conservé au musée du Louvre, image RMN |
Jules Supervielle, dans Le Forçat innocent, 1930.
Il est très beau ce tableau ! Je ne connaissais pas... Bonnes vacances ;-)
RépondreSupprimerOui, l'image fait un peu rêver, j'avoue que je me vois bien sur le banc.
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