La vraie vie, la vie enfin découverte et éclaircie, la seule vie par conséquent réellement vécue, c'est la littérature.



mardi 29 novembre 2011

Parce que la montagne est là.


Baku Yumemakura et Jiro Taniguchi (pour les dessins), Le Sommet des dieux, traduit du japonais par Sylvain Chollet, paru au Japon à partir de 2000, Paris, Kana, 2004.

Un manga plutôt connu que j’ai lu il y a quelques années chez David et Séverine, que j’ai acheté pour un montagnard récemment ; j’en profite pour en faire une rapide présentation.

Un journaliste spécialisé dans la montagne, Fukamachi Makoto, séjourne à Katmandou, là d’où partent toutes les expéditions pour l’Everest. Il découvre totalement l’appareil photo qui aurait appartenu à George Mallory, alpiniste britannique, disparu en 1924 sur les pentes de l’Everest. A-t-il atteint ou non le sommet avant de mourir ? Cet appareil, à l’histoire mouvementé, pourrait répondre à cette énigme. Dans le même temps, le héros part sur les traces de Habu Jôji, grand mais orgueilleux alpiniste japonais. C’est le point de départ et je ne dévoilerai pas les péripéties de ce manga en 5 volumes, palpitant, qui nous emmène dans l’histoire de l’alpinisme.
Ce qui m’avait frappée quand je l’avais lu, c’était la force des dessins de Taniguchi, capables de rendre, chaque fois de façon différente, la beauté et la puissance de la montagne.


3 commentaires:

  1. C'est vrai que le dessin à l'air remarquable. Que je suis à la fois fan de la montagne et du Japon, j'ai bien envie de le lire...

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  2. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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  3. Cafouillage dans les commentaires... Oui le dessin est tout à fait époustouflant, je recommande les 5 volumes et tout Taniguchi dans la foulée !

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