Maurice Sendak, Max et les maximonstres, traduit de l’américain par Bernard Noël, parution originale 1963, édité en France par L’École des Loisirs.
Max n’a pas été sage et il est puni dans sa chambre. Durant la nuit, un bateau l’emmène au pays des monstres. Mais comme Max est le plus terrible, il devient le roi des monstres.
Une petite histoire de rien, l’histoire d’un enfant pas sage (comme il y en a tant), d’un enfant absolument pas terrorisé par les monstres, bien au contraire.
L’album vaut surtout pour les dessins, mais j’avoue avoir préféré Prosper-Bobik où les détails sont plus nombreux et où surtout l'humour est bien plus présent. Bien sûr les monstres sont très réussis et le dessin est très attrayant, mais quand même, l'histoire des cochons est bien mieux.
Un grand classique que j'offre régulièrement depuis ... et bien des décennies.
RépondreSupprimerBon dimanche !
Je savais que c'était très connu, mais je n'en savais pas plus. Bon dimanche également !
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