Apollinaire, Calligrammes, publié en 1918.
Reconnaissance dans la section « Case d’Armons »
Un seul bouleau crépusculaire
Pâlit au seuil de l’horizon
Où fuit la mesure angulaire
Du cœur à l’âme et à la raison
Le galop bleu des souvenances
Traverse les lilas des yeux
Et les canons des indolences
Tirent mes songes vers
les
cieux
je suis plus bouleau que poulpe !
RépondreSupprimerPâle bouleau et poulpe crépusculaire ?
Supprimermerci
RépondreSupprimerC’est un plaisir.
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