Je me suis rendue pour la troisième fois au Salon du Livre de Paris.
D’abord pour l’Assemblée générale de VendrediLecture. Nous avons pris des tas de décisions et j'ai été réélue en tant que présidente.
Ensuite pour revoir les amis que l’on rencontre trop rarement.
Puis, pour les livres. Comme les fois précédentes, j’ai privilégié les
éditeurs dont les livres ne se trouvent pas en librairie et ceux qui soutiennent
ce blog au fil des ans par leur confiance renouvelée – j’aime bien entendre les
éditeurs parler de « leurs » auteurs.
Je suis donc revenue bien chargée :
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Sistac de Charlie Galibert – c’est un western – et Voyage à Visbecq présenté par l’éditeur comme « un roman
surréaliste anonyme belge écrit vers 1794 » (il ne m’en fallait pas plus).
Les deux édité chez Anacharsis. J’avais acheté déjà deux livres de cette maison
à Saint-Malo, il serait bon que je trouve le temps de les lire.
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Au bord de la ligne, roman du brésilien Paulo Rodrigues édité
aux Folies d’encre (quel joli nom !).
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Avaler du sable d’Antônio Xerxenesky, aussi un roman
brésilien, édité chez Asphalte, parce que ce sont des éditrices amies.
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Contes cannibales – Cuentos caníbales du cubain Ronaldo Menéndez, édité chez Meet,
parce que c’est une édition bilingue.
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J’ai
bien entendu rendu visite à Ginkgo. Je suis repartie du stand bien chargée
grâce au patron de la maison : La
Locomotive ivre de Mikhaïl Boulgakov (recueils de textes inédits), Des gens sans importance de Panteleïmon
Romanov (encore des nouvelles russes), Moi,
Joseph l’Alsacien de Miguel Haler (d’après un témoignage de soldat de la
Première Guerre mondiale) et Les quatre
saisons de Rimbe de Gilbert Vincent Caboud (roman policier). Merci pour
l’accueil ! Je vous conseille l’enthousiasme de cet éditeur.
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L’Auberge des morts subites, comédie de Félix Leclerc et Le Museum, roman de Marie-Anne Legault,
pour partir au Québec.
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Clin
d’œil également à Balivernes et à ses très jolis albums pour enfant. Je suis
repartie avec La Fanfare des grenouilles
de Satoe Tone, Les Amoureux du livre
de Frédéric Laurent et Trois petits riens
de Michel Escoffier et Kris Di Giacomo. Merci pour la gentillesse de l’accueil.
Notez que plus ça va, moins je dépense au Salon du Livre ! Trop
forte.
Pour l'instant je n'ai acheté que 7 livres (un de moins que l'année dernière), mais j'y retourne aujourd'hui...
RépondreSupprimerAh le défi...
SupprimerComme toi, j'ai privilégié les petits : L'Arbre vengeur, Noir sur Blanc, Aux Forges de Vulcain, Le Bruit du temps et Folie d'encre aussi ! J'ai lu "Dark Hazard" cet été et été emballée par la qualité de l'objet livre et le choix de cette réédition. Suis repartie du stand avec un uruguayen grâce à une jeune femme très convaincante :-)
RépondreSupprimerPar contre, je ne peux pas dire que mon budget salon diminue : passé le total à trois chiffres, c'est grave...
J'ai été attirée par les livres de Folies d'encre, par la maquette de couverture que j'ai trouvée très soignée. Mon budget est toujours à 3 chiffres, mais il diminue inexorablement.
SupprimerFélicitations pour cette reconduction...
RépondreSupprimerEt tu dis que tu as pris moins de livres que d'habitude ?!!!
Bon dimanche Nathalie
Je n'ai pas pris moins de livres que d'habitude, j'ai dépensé moins que les fois précédentes. Nuance !
SupprimerEt dire que je n'ai acheté aucun livre pour moi.
RépondreSupprimerMais je suis réélue secrétaire, c'est déjà ça !
Mais oui, c'est même l'essentiel !
SupprimerJe connais Ginkgo (hélas pour ma PAL!) Ce sont des terribles, on en repart les bras chargés... J'adore leurs romans décalés d'origines diverses... Joseph l'Alsacien est bien aussi!
RépondreSupprimerOui, c'est vrai que tu es aussi une lectrice ginkguesque !
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