Barbara Baldi, La Partition de Flintham, traduit de l’italien par Laurent Lombard, parution originale 2017, édité en France par Ici même.
Au milieu du XIXe siècle, dans une immense demeure anglaise (Flintham), une grand-mère meurt, laissant à l’une des petites-filles l’argent et à l’autre la propriété. La première part à Londres pour faire un beau mariage et fortune. La seconde, c’est Clara, une jeune femme qui aime jouer du clavecin et s’occuper de ses animaux. Faute d’argent, le domaine n’est plus entretenu et la pauvre Clara doit essayer de gagner sa vie.
L’album s’arrête quand tout commence. À vrai dire, j’ai trouvé que c’était un peu court, j’aurais bien profité davantage de ce rayon de soleil venant d’apparaître. L’intrigue manque de consistance, mais l’album campe avant tout une atmosphère avec ses illustrations. Elles sont superbes, envoûtantes, brumeuses. Les couleurs surgissent du néant, de la pluie ou de la neige, les personnages sont perdus dans un décor mouvant. C’est magique et surprenant.
J’ai noté de lire Ada.
L’avis d’Eimelle et de Nourritures en tout genre pour qui l’esthétique rappelle celle des romantiques allemands. C’est vrai qu’il y a un aspect de conte et une étrangeté.
J suis frappée par ces illustrations, en effet.
RépondreSupprimerC'est le gros point fort !
Supprimerl'esthétique des dessins me plait (ce n'est pas toujours le cas dans les BD)
RépondreSupprimerIls sont très beaux !
SupprimerJe ne peux que te recommander Ada, pour le thème, pour ce magnifique graphisme.
RépondreSupprimerOui il a l'air très beau aussi.
Supprimer