La vraie vie, la vie enfin découverte et éclaircie, la seule vie par conséquent réellement vécue, c'est la littérature.



jeudi 29 avril 2021

Êtes-vous 100 % de binge ?

  

Jean Harambat, Opération Copperhead, mise en couleur par Isabelle Merlet, Dargaud, 2017.

 

C’est une BD et tout commence sur le tournage de Mort sur le Nil (vous savez, le film tiré du roman d’Agatha Christie !). Peter Ustinov et David Niven se remémorent leur rencontre, lors de l’Opération Copperhead. C’était à Londres, pendant la Guerre, nos deux héros sont alors au service de la patrie…

Un album comme un film d’espionnage, avec des soldats, une femme fatale, un héros authentique (le général Montgomery), des héros qui le deviennent devant la caméra, des jeux de mots, Shakespeare, de l’alcool et du thé. So british.

Je préfère ne rien dire de l’intrigue, car elle est assez simple. Elle aurait d’ailleurs gagné à plus de complexité, car on voit tout arriver à plusieurs kilomètres. J’ai beaucoup aimé l’atmosphère, qui est tout à la fois celle de Londres pendant la Seconde guerre, celle du cinéma et de ses coups de théâtre, l’humour et la légèreté du ton.

Un agréable moment de lecture, même si j’ai préféré Hermiston, un autre album de l'auteur, mais d'après Stevenson.


La vérité sur l’Opération Copperhead parce qu’il y en a vraiment eu une. 

 

 

8 commentaires:

Dominique a dit…

pour moi c'est tout bon car c'est un auteur de BD que j'ai noté pour mes cadeaux et c'est parfait

nathalie a dit…

C'est un cadeau très sympa en effet, même si tu as compris que je préfère Hermiston !

keisha a dit…

Ah connais pas, ni la BD, ni l'histoire...

Catherine a dit…

que signifie le titre de ton article?

nathalie a dit…

Un petit morceau de la grande histoire, une de ces histoires de manipulations comme il y en a tant eu pendant la guerre !

nathalie a dit…

C'est une citation issue de l'album (tous mes titres d'article sont des citations).

Catherine a dit…

oui d'accord , je sais cela mais qu'est-ce que ça veut dire?

nathalie a dit…

Aucune idée. La phrase n'a pas de sens, mais elle symbolise l'un des personnages de l'album.