Catherine Meurisse, La Légèreté, 2016, Dargaud.
Je vous avais annoncé, après ma lecture du Lambeau, que je comptais relire La Légèreté. C’est chose faite (il y a plusieurs mois). Je n’ai rien de plus à dire que ce que j’ai déjà écrit la première fois, mais comme certains d’entre vous ne se sont toujours pas mis à Meurisse, ce petit rappel m’a semblé indispensable.
Ici, elle raconte comment la beauté l’a sauvée après l’attentat à Charlie Hebdo et plus généralement comment la beauté sauve, permet de sortir de soi-même, de redécouvrir l’autre et la vie, de dormir sans trembler, de sourire et de se trouver une place dans le monde. Ici, c’est d’un séjour à Rome, à la Villa Médicis, que viendra le salut. Des marbres, des peintures. Elle va, guidée par Stendhal (ah comme on a envie de relire Stendhal) (toujours) et par d’autres âmes sensibles, un peu médisantes, un peu mauvais esprit, mais amies.
Une autrice.
Meurisse sur le blog :
Le Pont des arts
Mes hommes de lettres
La Légèreté
Moderne Olympia
Les grands espaces
Delacroix, sur un texte d'Alexandre Dumas
8 commentaires:
J'avoue ne pas en avoir lu autant que toi!
Je suis sûre que tu adores en plus. Bon on m'en a offert, ça aide.
Cela fait envie
Mais oui, laisse-toi aller !
je recommande!
Merci de cette approbation.
j'ai lu le lambeau mais je ne connaissais pas ce livre de Catherine Meurisse. Il a l'air très beau et sur un sujet que j'aime. A retenir !
On le trouve facilement, il a eu beaucoup de succès. Moi j'aime tout ce qu'elle fait !
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